Août 2024
Souhaitons que ce mois soit plus paisible et ordinaire que le précédent.
Tout d'abord mes excuses pour la petite qualité des photos. Il fait si chaud que je travaille dans le noir avec juste un coin de rideau tiré pour avoir un peu de lumière...
Vendredi 2 août, le manuel d'atelier est arrivé, il va donc être possible de continuer le démontage du moteur. Le gars m'a vendu un manuel "sans tache" et en très bon état. Certes il est en très bon état de structure, certes l'intérieur est peu taché, mais il a, comme je lui demandais, les inévitables traces de "doigts d'atelier" au bas des pages. Il en voulait 95 euros, excusez du peu. Je lui ai proposé 50 s'il était en état neuf, il a demandé 60 hors port car non taché et en tbe.
Nous n'avons pas la même appréciation de la tache ! N'en parlons plus, je peux continuer mon travail et ce manuel est introuvable : je cherche depuis le mois de mars et c'est le seul qui est sorti.
Ainsi j'ai pu voir que les deux vis tenant le support de l'allumage devaient être sorties, justement pour enlever ce fond qui donne accès au vilebrequin et au pignon d'entraînement.
Elles sont TRES récalcitrantes et j'y passerai presque une heure avant qu'elles consentent à lâcher,
les garces !
Il a fallu, chauffer, choquer et percer, mais ce n'était pas fini : seuls le marteau et un vieux tournevis ont pu enfin les débloquer.
Comme j'ai récupéré le manuel vers 17h vous comprendrez que l'après-midi ne fut pas très productive.
Samedi 3 août.
Heureusement que le manuel est là, sinon cela aurait été une bonne prise de tête pour l'ordre du démontage. C'est reparti.
Tout d'abord virer le plateau supportant l'allumage. Aucune indication sur le manuel pour ce faire, malgré un plateau qui ne tourne ni ne bouge et n'offre aucune prise, sauf une petite gorge sous laquelle entre une lame fine de tournevis ! Pas évident à trouver.
Le plateau sort et dessous on a une vision sur la distribution.

A droite l'arbre à cames qui tient avec trois vis. L'une est cassée net, il manque la tête que je trouve nulle part, le moteur n'a jamais été ouvert rappelons-le.


Ci-dessous, la ligne donnée par la planche donnera le repère de calage lors du remontage. On s'aligne sur un repère quasi invisible gravé sur le pignon et la clavette de guidage du volant en bout de vilebrequin. On n'est pas dans la précision chirurgicale !
Photo repère à gauche d'un pignon en parfait état et à droite, de l'emplacement du pignon haut de l'arbre à cames. Le manuel dit de sortir l'act sans plus de détails. C'est impossible si on ne démonte pas le tendeur.
Pour en finir avec la distribution, voici l'arbre à cames en place dans le boîtier haut, puis démonté.
Il est en bel état.
Pour la distrib' seules les deux roulettes du tendeur seront à changer. La bakélite est usée ou abîmée.
Ensuite, la culasse vient sans problème, les culbuteurs sont intacts, la chambre de combustion est propre, la soupape d'échappement semble fatiguée : à changer.
J'ai un souci avec le joint de culasse. A gauche le neuf bien différent de l'ancien. Plusieurs des joints de la pochette ne correspondent pas, y compris des spis. Il va falloir faire une comparaison sérieuse et essayer de trouver à l'unité chez CMS.
Le piston est en très bon état, juste quelques marques insignifiantes, le cylindre est à l'avenant.
Voici les pièces démontées dans l'après-midi :
Pour la suite, afin de séparer les deux carters moteur restants, il faudra dévisser l'étoile de blocage en bout du barillet de boîte.
Or c'est une grosse vis comme toutes celles que j'ai dû percer, on la voit bien sur la photo.
Evidemment celle-ci est bloquée de chez bloqué....
Demain perçage de la vis.
Dimanche 4 août, c'est fait, elle m'en a fait voir de toutes les couleurs, d'une solidité à toute épreuve elle a fini par céder au marteau et au "burin", comme un bourrin quoi !
Une fois ôtée cette plaquette, les carters peuvent être séparés. Une fois encore, il a fallu employer les grands moyens. Collés par le temps ils ne voulaient pas céder eux non plus, j'ai donc dû employer les trois outils ci-dessous.
Attention, avec délicatesse autant que faire se peut et puis douceur et sens du commun, afin de ne pas entamer l'alu des portées.
Voilà du bel outillage mécanique !
En attendant ce fut efficace et devant mes yeux ébahis il y avait cela :
Un carter plein et un vide.
Une tige longue qui ressemble à une tige de kick* et des pignons en veux tu en voilà, même que ça ressemble à une boîte de vitesses*.
*renseignements pris ce sont effectivement l'axe de kick et la boîte à vitesses. 😂
Pour le plaisir et surtout ma mémoire, l'appareil photo fonctionne à plein. L'espèce de grosse toupie à droite, j'ai parié sur le vilebrequin : gagné !
Bon là je rigole avec le vocabulaire, mais j'avais deux contacts qui étaient incapables de se souvenir du vocabulaire mécanique. Ils avaient tout le temps besoin de pièces et je ne comprenais jamais ce qu'il leur fallait. C'était genre la "grosse toupie" pour le vilo ou le "gros fer en U autour de la roue" pour le bras oscillant. Authentique !
Revenons à notre petit machin. Le moteur est propre intérieurement, il n'y a aucune casse et hormis les vis, peu de choses à changer sinon trois bricoles par sécurité tant que c'est ouvert.
Une vue de la toupie 😎...
... et une vue d'ensemble. Les éléments restants sont juste posés et "emboîtés" entre eux.
Je ne les sortirai qu'au moment de les nettoyer.
Les démontages à suivre sont simples, il suffira de tirer les axes.
Les difficultés restantes sont le nettoyage de toutes les pièces, le démontage de l'embrayage qui nécessite un outil spécial, le grattage des plans de joints (vu comment ils sont chargés) qui nécessite des bras à rallonge et le nettoyage intérieur des carters qui nécessite beaucoup de patience.
Pour l'extérieur ils seront repeints, ça j'aime bien.
J'ai vérifié l'ensemble des joints constituant la pochette achetée chez 4strokes. Une grande partie correspond à ce qu'il faut, cependant je vais acheter chez cms une autre pochette de joints hauts car elle vaut la moitié du prix du joint de culasse seul...
Le démontage est terminé. Il fallait vérifier l'état des soupapes, des ressorts, des pignons de boîte etc afin de commander toutes les pièces en même temps. De plus je serai tranquille lors du remontage sans avoir à attendre telle ou telle bricole.
Lundi 5 août.
La dernière ligne droite était pour la boîte et les soupapes. Tout est bon y compris les soupapes qui sont dans la cote avec les ressorts.
A l'aide de mon plus bel investissement (!) un coffret de lève-soupapes et un doigt aimanté, ce ne fut qu'une formalité. Ce sont des outils très bon marché dont on se passe difficilement.
Malgré leur apparence, ils ont "de la bouteille".
La chambre de combustion est assez propre, les sièges aussi, visuellement j'entends, en l'absence de matériel de pro pour mesurer.
Les soupapes demanderont évidemment un bon rodage.
Nous avons enlevé ensuite l'axe de kick puis la boîte. L'axe est simplement traversant, coincé entre les deux carters.
La boîte vient d'un bloc après avoir dévissé le barillet supportant les fourchettes.
Ci-dessous la vis du barillet.
Quelques photos censées faciliter le remontage. Pas de métrologie pour l'ensemble de la boîte, aucune envie de faire cela maintenant, mais, vu le peu d'usure du reste, je parie sur l'avenir et, au pire, je commanderai une fourchette.
Dernière pièce, un pignon de distribution comme neuf au bout de sa tige vissée.
Les carters sont vides hormis les roulements tous parfaits. Il ne reste plus qu'à nettoyer tout ça et gratter les joints 😡. Il faudra bien protéger les roulements en revanche.
Mardi 6 août. Pas de photo aujourd'hui car uniquement du nettoyage des pièces moteur. J'ai effectué également deux commandes, une chez CMS pour les pièces moteur et une chez 1,2,3 roulements pour les roulements et un spi oublié lors de la précédente commande.
Je conseille ce site pour tous les roulements et joints divers. Ils ont des dizaines de milliers de référence, expédient rapidement et ont des prix très compétitifs par rapport aux motocistes.
Enfin j'ai retourné l'atelier pour retrouver ces éléments "perdus" !
Je les ai rangés, mais où ? 😁 Si vous le savez, merci de m'envoyer un petit mot 😂
Mercredi 7 août. Enfin j'ai retrouvé les machins que je cherchais depuis hier. Il aura fallu tout de même la matinée, la vérification de tous les cartons de pièces de mon chai, de l'atelier et des placards du garage pour finalement les trouver sagement entassés dans une boîte de conserve en attendant de tremper dans un bain dégraissant !
Ensuite ce fut une longue après-midi de nettoyage. Y sont passés : l'axe de kick, le piston, l'allumage, le volant, la distribution complète, les culbuteurs et soupapes, les couvercles retrouvés dans la boîte, différents petits éléments de commande de sélection, l'axe de sélecteur et l'embrayage complet.
Evidemment poster toutes ces photos n'aurait pas grand intérêt, on les verra lors de la préparation des "familles" de pièces.
Cette préparation faite avec les parts-lists permet de regrouper tout et surtout de vérifier s'il ne manque rien.
L'embrayage a été démonté en totalité et cela n'est pas du luxe tant il était sale et encrassé.
Le démontage s'effectue simplement en ôtant un gros circlips. Il est monté en compression sur des ressorts et le remontage m'inquiète un peu tellement la compression est forte...
On voit à droite ces amalgames d'une espèce de matière graphitée dure et compacte. C'est ce que l'on trouve au fond des épurateurs centrifuges de la gamme Honda des 70's. En revanche ici, point de démontage facile lors de la révision.
Le gros circlips face interne du bloc et la cloche séparée du mécanisme.
Ci-dessous, l'ordre de remontage : le mécanisme, ira dans la cloche (bien comprimé* 😡), puis le disque garni, le disque lisse et enfin le circlips qui bloque tout ça. Il y a aussi 4 petits ressorts qui se mettent horizontalement et qui servent à, je sais pas quoi !
* il existe un outil spécial pour cet embrayage, une sorte d'arrache moyeu, va falloir se débrouiller.
Ce fut une aprèm bien remplie.
Vendredi 9 août, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Mon commis se faisant vieux, je lui ai confié une tâche ne demandant pas d'effort physique : le classement des pièces par familles.
Certes il fut surpris, mais je dois reconnaître qu'il s'en est bien tiré !
Voilà son boulot de l'après-midi :
Prêt à être remonté, l''embrayage complet tel que sur la parts-list.
Le plateau de pression complet et rangé aussi, il viendra chapeauter l'embrayage.
Soupapes et culbuteurs dans l'ordre de la parts-list. Les soupapes devront être rodées, "encore faudrait-il que le patron nettoie la culasse" dit le commis...
L'axe de kick et son compère de la boîte à vitesses, prêts à monter.
Enfin deux petits caches moteur passés au bloc émeri et polis au Belgom. Ils ne ressemblaient à rien et ont bien changé. J'ai choisi de ne pas les passer au touret à polir ayant peur qu'ils "fassent tache" sur le bloc moteur. Au pire ce ne sera pas difficile à réaliser ultérieurement.
Pendant que mon commis s'occupait à son travail, j'ai préparé les plans de joints de la pompe à huile et diverses bricoles que nous verrons demain.
Samedi 10 août ça y est c'est reparti, il fait si chaud qu'on est obligé de "garder le garage" après, vaut mieux ça que de garder la chambre. 😀
Pendant que le commis garde le canapé, "papa" bosse lui !
Préparation de la pompe à huile, tout est beau et propre, les plans de joints impeccables, ça devrait pomper c'te affaire !
Ensuite l'allumage, volant, bobines, vis et rupteur (qui seront neufs) etc.
Enfin la distribution. Sur la photo un peu de triche, les roulettes seront neuves ainsi que le capuchon du tendeur. Les pièces arrivent mardi 13. L'act est bon, bien dans la cote, heureusement car pour le changer ce serait une belle galère, en effet il doit y avoir 5 ou 6 références différentes alors qu'ils ont tous la même tronche...
Demain je m'attaque à la préparation du cylindre et de la culasse. Il y en a pour l'après-midi. Finalement ce n'est pas mal cette canicule, il n'y a pas grand chose d'autre à faire...
Dimanche 11 août, il a fait encore plus chaud qu'hier, c'était du feu dehors et 42° dans le garage où je dégraisse les pièces. En d'autre termes pour nettoyer les carters c'était râpé !
Cependant, n'écoutant que mon courage, j'ai posé les carters au soleil, plein cagnard, en dix minutes la cause était entendue : impossible de les toucher sans gants. Retour atelier, un petit coup de marteau et hop les deux roulements des carters sont tombés.
Je me suis alors attelé à la suppression et au grattage des joints, puis à l'aide d'une éponge magique* j'ai surfacé les plans desdits joints.
A cette place les amis il y avait tout le texte tapé hier ainsi que les photos. L'ensemble comme d'hab publié, relu et vérifié. Ce soir lundi je reprends le clavier et là il n'y a plus que la moitié à peine de ce que j'avais écrit 😡 J'ai un peu "les boules"... et le lecteur perspicace a dû penser que l'auteur avait viré frapadingue !
Alors, petit rappel :
Je précisais hier que cette éponge magique n'a rien de magique c'est un bloc compact d'un machin genre émeri. C'est utilisé en centrale nucléaire pour surfacer entres autres, les joints. Je fais donc confiance à ce produit qui me fut offert.
Hier outre les carters préparés en surface, je me suis occupé du piston.
Voici les photos :
Piston dans la cote s'il en est. Il n'a pas d'usure.
Lundi 12 août on continue. De fait c'est le prolongement de tout ce que j'ai fait hier, c'est à dire la finition des carters dont les joints avaient été supprimés.
On a nettoyé à l'essence, soufflé pour éliminer toutes les particules d'émeri, mis à tremper dans du produit à vaisselle très concentré, nettoyé à nouveau, fignolé et séché.
Voici le résultat de plusieurs heures de travail assez fastidieux.
Je suis satisfait du résultat. Demain on pose des roulements qui sont actuellement au congélateur.
Dans la foulée, avec mon commis, nous avons gratté le joint d'embase du cylindre qui nous en a bien fait voir. Puis cylindre et culasse ont été dégraissés à l'essence. Ils seront fignolés ensuite. Les pièces commandées chez CMS devant arriver demain, les opérations vont pouvoir s'enchaîner.
Mardi 13 août. Mine de rien l'été s'étire à grands pas, dans quelques jours nous allons retrouver la torpeur de fin de saison. D'un côté il nous tarde, d'un autre côté, c'est un an de plus de passé et la région vidée d'un coup devient un peu triste, juste le temps de s'y habituer.
Le paquet de chez CMS est arrivé avec des joints qui conviennent, les bricoles indispensables qui manquaient et le petit gonze d'un orange que je n'avais pas encore !
Ils n'ont pas lésiné sur le carton. Cela dit, le second envoi de 4strokes était arrivé éventré dans un petit carton tout mou genre ceux d'Amazon. Je leur ai signalé, ils ne m'ont pas répondu, même pas un tout petit mail, cela montre qu'ils s'en foutent. Moralité, je ne commande plus chez eux et je leur ai dit.
On sort les roulements du congélateur. Après avoir huilé un peu les logements, hop deux entrent tout seuls, le troisième demandera un petit coup de maillet (sur une cale évidemment).
Sont-y pas beaux les roulements ?
Les voilà encagés pour 50 ans ou l'éternité... c'est vrai quand on y pense !
Nous reprenons le nettoyage, c'est la dernière ligne droite des nettoyages.
Le vilebrequin qui n'a aucun jeu, aucun.
On peut constater sur la bielle que ce moteur est effectivement celui du ss 50, sauf la boîte 4 au lieu de 5 sur le SS plus sportif.
Cela aura eu un avantage, c'est d'avoir le manuel d'atelier en français !
Nettoyage et métrologie sur la boîte, barillet et fourchettes impeccables. Les vitesses passaient bien j'avais vérifié avant démontage.
Enfin cylindre et culasse propres, quel boulot fastidieux et inintéressant... Très compliqué fut le grattage des anciens joints d'échappement. Ils étaient deux, un en amiante dessous et un en cuivre par dessus. Collés, soudés par la chaleur, ils ont vendu leur peau très cher.
Autre problème que j'avais oublié : un bouchon cache culbuteurs qui, d'un modèle inadapté, fut posé en force, de travers et gorgé de pâte à joint pour que ça tienne. Le résultat est un filetage foiré et écrasé.
Après avoir bataillé longtemps et reformé, autant que faire se peut, le filet avec un marteau et un tournevis plat et fin, le bouchon se visse. Ce sera étanche (j'espère !).
S'il avait fallu faire réparer, en admettant que je trouve quelqu'un, c'était certainement un coût très élevé et un délai très, trop long.
Ce que vous voyez, c'est après "réparation".
Si nous récapitulons ce qu'il reste à faire sur ce moteur c'est :
- La peinture des carters extérieurs en gris et du cylindre en noir, l'ensemble avec une peinture haute température.
- Le rodage des soupapes.
- le remontage de l'ensemble.
De la rigolade quoi.
N'aimant pas les moteurs à plans de joints verticaux, il va falloir prendre le temps pour ne pas faire de bourde. C'est enquiquinant à assembler. On travaille à plat et il faut chapeauter avec l'autre carter sachant que les les axes ne demandent qu'à se mettre de travers voire se barrer.
J'en frémis d'avance. 😨 😂
Mercredi 14 août. Nous avons avancé encore d'un grand pas.
Préparation pour la peinture, il s'agit des deux carters extérieurs et du cylindre.
La peinture noire du cylindre une fois posée restait poisseuse. J'ai dû la sécher au décapeur thermique, d'abord à 300° puis 550°. Elle a bien durci en quelques minutes, environ 5/6 minutes en deux fois. Cela chauffe vite et met très longtemps à refroidir.
Il n'était pas question de mettre les pièces au four même si nombre d'entre nous le font.
Le rendu est impeccable, c'est une peinture mate qui en fait est un peu satinée.
Les deux carters ne sont pas en reste et je les trouve très jolis ! Pour rester en cohérence avec la finition du CD dans son ensemble, ils ne seront pas vernis.
En remerciement, le grand a droit à la pose des joints spi.
Avant le remontage du moteur dans la deuxième quinzaine d'août, il faut roder les soupapes et assembler l'embrayage. Pour lui, j'ai essayé cet aprèm mais les ressorts courts et durs ne permettent pas de comprimer le barda à la main. Il me faut donc un appareil genre arrache moyeu.
En attendant, le matériel de rodage est avancé pour demain.
A demain
Bonsoir, bravo le commis bien travaillé. Repos mérité. Bisavous câlins au commis
RépondreSupprimerMerci Gilles ! Bisavous aussi et gaffe aux baïnes !
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