Deuxième quinzaine d'août 2024
Le moteur se remonte, tel la pendule, enfin pas si simple...
Vendredi 16 août pour la simplicité de lecture et de recherche, nous commençons le remontage du moteur avec un deuxième article.
En premier lieu ce fut un essai de rodage des soupapes bien que nous n'en soyons pas encore là. C'est raté, d'une part la pâte à roder (14 ans il faut dire) est fichue, sèche allongée d'huile elle fait des gros "poutiocs" et ne rode que dalle, des nèfles. La ventouse adaptée ne ventouse rien non plus.
Alors si, j'ai rodé, mais à l'essai l'essence pissait de partout, il n'y avait aucune étanchéité, résultat : matériel commandé.
Il y avait également un problème en queue de vilebrequin dont le filetage légèrement écrasé empêchait l'écrou d'écrouter (c'est nouveau). Scie à métaux pour lui redonner forme, étau, huile et patience. Le tout m'a mangé une grosse demi-heure, mais c'est fait.
Ensuite, nous voilà partis au relais pour récupérer le montage électronique qui fera office de redresseur et régulateur de courant de charge et ce, afin de ménager la batterie. Rappelons que c'est un montage fait par un copain du forum. On a aussi acheté un arrache pour le montage de l'embrayage, mais là c'est pas gagné...
Cette électronique, c'est joli comme tout, je n'ai pas (encore) la moindre idée sur la façon de le fixer. J'admire ce type de compétences, perso je ne connais aucun nom des composants 😏
L'arrache quant à lui est identique à l'appareil Honda pour comprimer les disques, mais c'est un arrache alors j'ai des doutes.
Tout cela m'a pris une partie de l'aprèm, cependant j'ai avancé quand même.
J'ai commencé par le vilebrequin, même que je l'avais mis tête en bas. Comme je ne pigeais pas pourquoi la roulette de distribution n'allait nulle part, j'ai vérifié et...
Puis ce furent le barillet et les arbres de boîte, c'est assez simple et in fine ça tient bien debout, surtout que le barillet est vissé au carter.
L'axe de kick est bêtement enquillé dans un alésage du carter, une languette le bloque dans la fonderie du carter.
Des vues de l'ensemble bien propret et bien graissé.
Demain le second carter peut venir chapeauter celui-ci.
Samedi 17 août. Aujourd'hui commis et moi avançâmes tels des damnés, rien que ça !
Le résultat est là.
Nous commençâmes par monter l'embrayage, ce fut pas une sinécure loin s'en fallut. Nous fûmes obligés de ruser en attachant l'arrache qui passait son temps à.... s'arracher justement.
Enfin cela a fonctionné, oublions le temps que ça nous a coûté ! L'embrayage est monté il pourra retrouver sa place.
Sa commande de réglage est posée.
Le couvercle est alors refermé. Dire que c'est joli serait exagéré... Si une fois en place c'est trop moche, hop, un coup de peinture !
Après avoir vérifié dix fois s'il ne manquait rien, les plans de joints sont enduits d'une très fine couche de pâte à joint (employée en centrale nucléaire, donc très étanche).
Je préfère doubler l'étanchéité sur ces plans verticaux, même si ça ne sert à rien !
Le carter reçoit le joint papier, ça fait bien propre.
Nous réunissons ensuite les deux carters, quelques vis là où il faut (!) et on continue en posant le ressort de l'axe de kick avec un circlips neuf, c'est indispensable, l'ancien étant toujours tordu par la pince et s'il saute, on est souvent bon pour rouvrir le moteur. Dans notre cas ce serait juste un carter extérieur, un moindre mal.
Evidemment nous testons le fonctionnement dudit kick.
Nous passons à la pompe (dont le prix est resté stable ce mois-ci😀). Elle est refermée, fastoche c'était un empilement de petits bouts dans l'ordre de la parts-list.
Lors de la préparation, je ne voyais pas trop comment elle pouvait fonctionner. Ci-dessousla flèche orange montre une fente dans l'axe de la roulette de la photo de droite (roulette de la chaîne de distribution). Le bout du rotor de la pompe (flèche rose) vient s'emboîter dedans et ça tourne ma poule. En plus cela suit le régime moteur.
La pompe est en place.
Pour finir une vue pile et face du moteur dont les entrailles sont assemblées.
Il reste à poser la commande de sélection, l'embrayage, l'allumage et des bricoles.
Nous pourrons passer ensuite au haut moteur.
Cet aprèm, j'ai reçu le matériel pour roder les soupapes.
Dimanche 18 août. Le dimanche c'est vide-greniers ici, en fin de saison ils sont plus importants grâce aux touristes. Nous aimons ça les vide-greniers.
L'atelier est donc relégué au second plan, mais comme il me tarde d'avoir fini, je me suis "collé" aux soupapes cet aprèm.
Ce qui devait n'être qu'une formalité fut plus embêtant que prévu, la faute au rodoir d'une part et aux clavettes d'autre part.
J'ai reçu ceci. Deux pâtes à roder, grosse et fine et un rodoir avec deux ventouses dont une adaptée à mes soupapes. Cependant, si la qualité de la pâte est bonne, il n'en est pas de même du rodoir : un manche très fin de diamètre et parfaitement cylindrique il est quasi impossible à utiliser : aucunes préhension ni sensation. J'ai dû en utiliser un vieux dont les ventouses étaient fatiguées tant et si bien que j'ai fini aux doigts !
Les soupapes sont rodées l'étanchéité est bonne, c'est l'essentiel.
Le montage des soupapes et des clavettes a été sportif, en effet minuscules et éprises de liberté, elles ne demandaient qu'à se barrer (comme toutes les clavettes). Il en fallait quatre et il y en avait quatre, aucun droit à l'erreur. Dans le garage une clavette cachée est une clavette perdue jusqu'au déménagement suivant (2 ans et demi pour nous en moyenne 😂).
Pour arranger les choses, le puits est profond et étroit, il faut travailler avec une pince fine et longue, en l'occurrence une pince à pansements, j'en ai en placard...beaucoup !
Madame culasse est fin prête à chapeauter le moteur.
Lundi 19 août. Travail uniquement ce matin, mais nous avançâmes bien, comme disent les mamies ici "c'est de connaître" manière de dire "ça se voit".
L'étoile en bout de barillet possède un détrompeur en accord avec la plaquette du dessous, c'est intéressant car il n'y a pas besoin de bidouiller pour trouver la bonne position.
L'axe de sélecteur s'emboîte simplement à travers le bas moteur et la "main" de sélection se trouve coincée sous la plaque ronde. C'est une patte munie d'une roulette qui guidera l'étoile.
Nous posons ensuite le volant de transmission qui est bloqué par un circlips, puis une bague/entretoise, une autre bague en bronze et enfin, photo du dessous, le pignon d'entraînement primaire.
A ce stade nous pouvons fixer l'embrayage qui s'enquille sur le pignon primaire. Une rondelle crantée pour le blocage de l'écrou à créneaux qui le tient, attention à bien bloquer avec l'indispensable douille qui va bien.
Je l'ai maintenu - pour le bloquer - avec une clé à filtre à huile à sangle.
On n'oubliera surtout pas de remonter les crans de la rondelle pour maintenir l'écrou freiné.
Il faut maintenant fermer le plateau de pression dont le mécanisme de pression sera maintenu par le carter d'embrayage "de finition", celui qui est peint. Nous ne fermerons qu'au tout dernier moment, afin de pouvoir bloquer le moteur (par le mécanisme d'embrayage), lors du montage de la distribution et de l'allumage.
Mardi 20 août. Nous avançons commis et moi et le résultat du travail se voit de plus en plus, surtout celui du commis 😂. En vieillissant il se met à faire ce dont il a envie...
Il a quand même réussi à monter la roulette haute pour la chaîne de distribution, alors pour la table, je n'ai rien dit !
Le piston est en place. J'ai dû réutiliser l'ancien clip, en effet le neuf reçu avec les bricoles est bien trop large et il n'entrait pas. Il ne faut rien oublier ni centreurs ni joints. La parts-list doit être suivie scrupuleusement et dans notre cas la bonne, car entre les modèles de CD des différents pays, il y a de nombreuses différences. Pour celui-ci c'est le CD 50 japan.
Le cylindre est posé. C'est plus simple que sur les 350. On fait très attention aux segments et on l'a préalablement muni de la roulette de chaîne.
Pour poser la culasse ensuite il ne faut rien oublier, deux centreurs et trois joints : le joint de culasse, un torique et un large en caoutchouc.
La culasse est posée complète c'est à dire avec l'arbre à cames (act), les axes et les basculeurs en place.
Le pignon d'act doit être enquillé dans son logement chaîne en place, il montera en même temps que la culasse descendra.
Photo de droite on remarquera que la distribution semble bien "calée", le repère du pignon est aligné sur l'encoche du vilebrequin. Ce n'est vraiment pas compliqué car côté intérieur du moteur, tout est encore à l'air libre. Cela dit j'ai travaillé sans avoir monté le tendeur, peut-être que demain au montage d'icelui cela n'ira plus du tout ! C'est à vérifier impérativement.
Pour finir la journée, deux vues du moteur qui ressemble de plus en plus à un moteur.
Mercredi 21 août. Le haut est fermé. Il faudra rouvrir le cache rond car une des trois vis du pignon d'act n'est pas la bonne. En acier ordinaire, elle fera la remise en route mais devra être changée.
Les joints sont neufs évidemment, la culasse serrée au couple, à vérifier et resserrer ultérieurement, les soupapes réglées. Hormis pour la vis du pignon, nul besoin d'y revenir... normalement !
Côté droit une ailette est cassée, sur la photo en gros cela se voit beaucoup, in situ nettement moins.
Le tendeur de la chaîne de distribution est en place et fonctionnel, on voit le poussoir à droite.
Souci lors de la mise en place du bouchon de culbuteur : il s'est cassé au vissage. Sortir le morceau s'est fait simplement avec un tournevis car c'était vissé droit et sans forcer. Il était juste vieux.
Préalablement à la pose du plateau d'allumage, j'ai changé le rupteur et refait proprement - avec l'aide d'Erwan mon petit robot - une connexion à la sortie du volant magnétique.
Une fois tous les éléments fixés sur le plateau : rupteur, bobines, condensateur et feutre de lubrification, le plateau est fixé au moteur. Il reste le volant à poser par dessus.
En cette fin de journée, l'ensemble prend forme et je pense - si tout va bien - pouvoir remonter le moteur dans le cadre en fin de semaine. Cependant l'été s'étire, il fait très beau et très bon 25/26° et nous aimerions en profiter un peu, donc pas de pronostics...
Jeudi 22 août. Le remontage du volant magnétique effectué, les serrages divers ont été vérifiés. Il n'est pas possible de régler l'allumage sur l'établi il reste donc à reposer le moteur.
Vérification du réglage des soupapes et hop pose des bouchons de culbuteurs.
Enfer et damnation 💀💣💥😡
Le bouchon qui avait un problème que je pensais bêtement avoir résolu ne visse pas. Il bloque sur les premiers filets et ne va pas plus loin que ça :
A ce stade, je n'ai aucune solution, de plus j'ai cassé un autre bouchon, il ne me reste que celui-ci. En soi ce n'est pas ennuyeux c'est disponible et peu onéreux, encore faudrait-il qu'il visse. Il n'y a guère de possibilités, c'est soit la réparation, soit le changement de culasse. Je crains fort d'être bloqué pour un certain temps, sans compter le re-démontage du haut.
Mauvaise journée.
Vendredi 23 août.
Comme je sentais bien la journée, ce matin j'ai sorti la 350 pour aller dire bonjour à l'océan. Dire qu'il faisait beau serait exagéré, j'ai même pris une (petite) saucée !
Retour à l'atelier.
Sur le forum, j'ai trouvé des conseils concernant le fameux bouchon. Pourquoi ne pas le couper de quelques filets ? Sitôt dit, sitôt (mal) fait !
J'ai coupé sur deux filets, mais comme un idiot j'ai suivi le filet en tournant et, sur un tour je me suis retrouvé dans le caoutchouc ! 😂 Et un bouchon naze de plus.
Heureusement j'ai un moteur de secours pour les 350, j'ai pu lui prélever un bouchon car ce sont les mêmes. Un filet coupé tout droit, un coup de lime et hop le bouchon est en place.
Passons au reste du moteur. Le volant étant déjà en place, j'ai tenté le réglage du rupteur et il peut se faire contrairement à ce qui est dit dans le manuel d'atelier. Certes c'est purement "théorique" mais je fais ainsi pour les 350 et cela fonctionne.
Nous posons ensuite le joint du carter d'embrayage sur le moteur, les centreurs sont déjà en place sur le carter et ils ne veulent pas sortir, c'est gênant dans ce sens là pour la pose, mais on y arrive.
La preuve :
Le pignon de sortie de boîte est positionné, les bouchons sont en place.
Le moteur est fermé. Le cache volant/carter de chaîne est posé à blanc pour la photo.
Le derrière du moteur que l'on ne verra plus une fois en place, il faut en profiter...
La prochaine étape sera la pose du moteur dans le cadre, puis on remontera les périphériques et peut-être que le week-end prochain, nous pourrons effectuer la mise en route.
Samedi 24 août. Peu de travail à l'atelier. Le moteur a retrouvé sa place dans le cadre ou plus exactement sous le cadre. Cette opération est simple car il ne tient que grâce à deux longues vis avec rondelle "spring" et écrou.
Pour ceux qui vont en poser un identique il faut commencer par l'emboîter en haut sinon on n'y arrive pas, enfin il est préférable d'être deux.
Le voici positionné, il reste à l'habiller complètement puis nous pourrons penser aux branchements dans le cadre. Je vais avoir besoin de l'aide avisée de mon commis !
J'ai préparé le petit montage redresseur/régulateur de courant - fabriqué par Mathieu un copain du forum - il faut lui trouver une place dans le cadre ou sous un cache... au montage pas à Mathieu !
Voici tout ce qu'il reste à monter, plus l'échappement. Peut-être demain, plus sûrement lundi.
Lundi 26 août.
Rougnoudidjiii rien ne va ! Dire que certains croient qu'on rigole.
Hier dimanche je me suis frotté au montage du carbu, funeste erreur... outre le fait qu'il a fallu chauffer la pipe en caoutchouc pour qu'il s'emboîte, je n'ai jamais réussi à fixer le câble de gaz sur le boisseau par manque de longueur.
Comme il n'a pas rétréci, le souci était ailleurs. Cela venait de la poignée qui coinçait. Démontage obligé et là surprise, le câble légèrement coudé ne permettait plus au coulisseau de coulisser, de plus la pièce bloquant ledit câble s'est fendue dans l'histoire : risque de casse et donc risque de blocage de la poignée. Ne nous leurrons pas, si ça arrive ce sera gaz ouverts en grand. C'est trop risqué.
Il faut changer cette pièce qui, évidemment, n'est plus dispo. Je l'ai toutefois trouvée en Hollande en lot avec le coulisseau dont je n'ai aucun besoin. Tant pis, c'est 20 balles le petit bout d'alu plus 10 de port.
La commande est partie comprenant un câble neuf tant qu'on y est.
Afin de ne pas perdre de temps, nous avons décidé avec le commis de finaliser les branchements électriques. Erreur funeste !
J'ai des fils à revendre (même à donner si besoin), du rouge, du vert, du blanc, du jaune qui ne vont nulle part. Les schémas électriques en ma possession ne correspondent pas du tout à ma réalité de terrain. Mon faisceau n'est pas du tout bidouillé, la batterie fut simplement supprimée. Après longue, longue réflexion, la lumière a jailli, une fulgurance quoi 😂.
Il s'agit de la cellule redresseuse qui a aussi été supprimée ou jamais présente. Je devrais donc pouvoir m'y retrouver, mais il va falloir allonger, dédoubler, connecter et bien entendu, je n'ai plus de cosses mâles adaptées, les seules qu'il me faut...
A demain pour la suite des aventures.
Demain mardi rien, je n'avais pas envie. Mais mercredi 28, la bonne surprise. Les pièces commandées lundi midi en Hollande sont arrivées ce matin ! Ce n'est pas CMS et reconnaissons qu'ils ont fait fort. 😎
Il y a là-dedans : deux vis d'act, deux mètres de durite d'essence - il m'en faut pour les p50 - un câble de gaz et le barda qui coulisse dans le guidon pour les gaz. Concernant le câble, ce n'est pas bien malin, il est trop court de 15 cm à cause du grand guidon. Ils devraient noter la longueur sur le site...
Aussitôt mis en place le coulisseau, mais avec l'ancien câble qui, finalement, va bien avec le machin neuf. Alors, ça accélère et décélère du moins à vide, cependant il faut quand même ramener la poignée et mon réglage n'est pas au top.
Ensuite j'ai réglé l'embrayage, il a fallu démonter selle et réservoir pour dégager le câble et lui permettre d'être relié à la commande.
La mise en place du carburateur n'a pas posé de problème particulier aujourd'hui.
J'ai pu facilement relier le câble qui avait la longueur nécessaire grâce au nouveau coulisseau et au bon positionnement de l'ensemble
La partie moteur est en place. Vendredi nous essaierons de poser le reste.
Vendredi 30 août. On a avancé un peu, mais point trop n'en faut.
En premier lieu la pédale de frein qui se monte avec la tringlerie en place. Le blocage du flasque de frein fait partie du voyage.
Une fois la pédale en place, impossible de trouver le ressort pour l'amarrer. Il y a juste le ressort du contact de stop. Fouille, fouille et trouve rien, nada, que dalle. Je suis certain de n'avoir rien perdu, hormis mon temps à chercher.
Les photos du démontage font alors apparaître qu'il n'y avait pas de ressort.
Là je suis mal ! Fort heureusement je trouve dans mon stock un ressort costaud qui, s'il n'est pas le bon, convient parfaitement. Maintenant la pédale tient.
Je pense que le ressort d'origine fut supprimé tant les garnitures étaient usées : avec lui la pédale ne devait plus descendre suffisamment !
Ci-dessous les détails du montage du blocage de flasque et de la tringlerie.
Passons maintenant à l'échappement. Pour le montage, il y a ça :
Fastoche, une platine, deux demi-lunes, 5 ou 6 écrous et leurs inséparables rondelles.
Voici ce que cela donne :
Seul problème il reste un écrou de 10 et deux rondelles qui vont avec. Explication : le support du pot est pris sur l'axe de bras oscillant, mais il vient par-dessus l'écrou d'icelui. Il y a donc l'écrou du bras, une rondelle le support puis une autre rondelle et un autre écrou.
Ah ils vont pas se barrer les deux Ostrogoths !
Demain le Alain il est bon pour arranger cette affaire. Il faudra ensuite bloquer la roue arrière et vérifier tous les blocages de la partie cycle.
Restera alors simplement la finalisation du circuit électrique. Pour ce faire, aujourd'hui sont arrivées des cosses adaptées.
Samedi 31 août. Demain nous serons en septembre, un été de plus voire un de moins...
Ce matin les estivants partaient en file serrée, on sent la fin de la saison.
Fin de remontage également pour le CD, du moins au niveau pièces.
Il reste un gros morceau c'est l'électricité.
L'échappement a retrouvé sa place ainsi que son enjoliveur protège coude.
Il n'a pas été aisé à poser, surtout l'enjoliveur. Sans table élévatrice, je dois rester allongé sur le dos et me redresser ensuite est problématique...
Le kick.
Afin de ne pas rester vautré par terre trop longtemps, j'ai réfléchi assis devant le faisceau électrique.
La minuscule batterie prend toute la place, le reste devra rentrer là-dedans. On voit dans le boîtier plastique transparent, le montage régulateur qui apporte quatre fils supplémentaires !
Justement ce boîtier, on lui a trouvé une place (mon commis a trouvé). C'est dans le cache latéral en lieu et place des outils disparus, pas bête le commis. 😎
Fixé avec du velcro, je pense aussi le monter avec des cosses rapides pour pouvoir débrancher lorsqu'il faudra sortir le cache.
Habituellement sur toutes les Honda c'est fil rouge avec fil rouge, jaune avec jaune etc. Ici c'est vrai en grande partie, mais il y a de nombreuses entorses d'origine avec l'utilisation de fils dont seule l'extrémité possède un manchon noir sur jaune par exemple. On ne sait donc pas trop si c'est noir ou jaune/noir. De plus il semble qu'il y ait des fils en trop. Il va falloir s'appliquer et être très organisé.
On se donne rendez-vous début septembre, très vite quoi. 😀
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